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Dans le cadre de mon nouveau projet photographique, j’ai eu la chance de croiser le chemin de Hana, une femme passionnée par l’histoire et l’art. Grâce à elle, chaque étape de mon périple à travers la Bohême s’est teintée d’humanité et de profondeur. Elle m’a fait découvrir le monde fascinant des souffleurs de verre, ces artisans qui transforment la matière avec grâce et précision. Sans elle, cette rencontre n’aurait pas été la même.

Ce n’est pas un simple café. Le Louvre est un refuge. Un endroit où l’on peut écrire, penser, rêver. Où l’on sent que des esprits brillants sont passés avant nous, et que leur présence flotte encore dans l’air.

Entre ombre et lumière, les ruelles de Prague dévoilent des récits empreints d’élégance et de poésie. Voici quelques photos prises sur le vif.

La Bohême m’a toujours attiré par son cristal si pur, presque magique.
En visitant les ateliers, j’ai découvert des souffleurs de verre qui ne font pas que fabriquer des objets : ils donnent vie à la matière. Avec un souffle, un geste précis, ils transforment le sable et le feu en formes légères, brillantes, presque vivantes.

Une balade seul dans Prague, où chaque photo reflète une émotion — nostalgie, émerveillement, calme, souvenirs.

La gare centrale de Prague est bien plus qu’un lieu de passage. C’est une entrée grandiose vers la ville, chargée d’histoires et d’émotions.

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2 Replies to “Les souffleurs de verre de Bohême.”

  1. Bravo Roland pour ces magnifiques images de la Bohême !
    Il faut d’ailleurs avoir une âme un peu « bohême » pour être souffleur de verre aujourd’hui, et on ressent cette sensibilité et cette fragilité au travers des paysages et des scènes de vie courante que tu as su si bien capturer.
    A couper le souffle 😉

    1. Merci beaucoup, Pierre-Cédric, pour ton message
      Cette âme un peu « bohême » que tu évoques, et les souffleurs de verre m’ont vraiment inspiré par leur délicatesse et leur force. Ton regard me donne envie de continuer à chercher ces instants suspendus. Merci pour ton souffle et tes commentaires que j’apprécie tout particulièrement.
      Bien à toi, Roland

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